La mémoire de l'eau

La "mémoire de l'eau est un phénomène en cours d'analyse par des scientifiques et des experts en hydrogéologie.

Ce phénomène est caractérisé par le fait que l'eau qui est présente dans certaines veines souterraines a la particularité de conserver virtuellement sa mémoire dans le sol pendant quelque temps après son assèchement. Nous ne savons pas pour l'instant combien de temps l'eau conserve cette faculté.

Ce phénomène encore inexpliqué est arrivé plusieurs fois dans notre région, et, en prenant contact avec d'autres sourciers à l'étranger, il apparaît que ce phénomène existe aussi, toujours dans des proportions infimes.
Cette "anomalie" ne représente qu'un cas sur plusieurs milliers, mais à tendance à augmenter significativement.

Cette rubrique n'est donc pas encore entièrement complète et disponible pour le moment, car les études en  cours demandent beaucoup de temps, et les tests doivent être confirmés selon un protocole draconien. De plus, nos homologues étrangers sont aussi en train d'étudier le phénomène, et les informations arrivent peu à peu. Vu le peu de cas recensés, tous ces paramètres deviennent complexes et délicats.  Vous pouvez nous contacter pour de plus amples informations en remplissant le formulaire nous contacter.


Nous vous tiendrons informés par le biais de cette rubrique dès que les résultats des découvertes scientifiques auront abouti.

Novembre 2007 : Deux nouveaux cas ont été découverts cette année, et, d'après les premières observations, ont peut estimer que le sol conserve la mémoire de l'eau pendant au moins plus de 180 jours. Cependant, un cas avéré connu et répertorié conserve actuellement toujours cette propriété, depuis plus de 270 jours!

Juin 2008 : Après les résultats des analyses chimiques des échantillons soumis au laboratoire, il apparaît qu'un lien de causalité existe entre la présence d'oxyde de fer, et de la roche volcanique (pouzzolane) qui catalysent cet oxyde.  Le résultat? Le fer ferreux est oxydé en fer ferrique qui précipite sous forme d’hydroxyde, Fe(OH)3. Dans les eaux souterraines, au contraire, l’absence d’oxygène fait que le fer reste en solution. Cette oxydation chimique est rendue possible lorsque la veine d'eau asséchée se charge en oxygène. C'est donc certainement la présence importante de rouille en formation dans une veine asséchée qui fausse la recherche d'eau, tout simplement. Mais nous pensons que la présence de certaines argiles en strates de type millefeuille augmente l'effet miroir, et fausse réellement le signal. Les recherches ne sont pas encore terminées, mais nous continuons nos investigations.....

Janvier 2009 : Profitant d'un important chantier de terrassement, une éxpérience inédite va être menée, consistant à superposer des couches d'argiles bleues (les pires) et le l'oxyde de fer sous forme de particules fines, le tout recouvert de terre végétale et de rochers de divers calibres. Un test à l'aveugle sera effectué.....pour essayer de reproduire le phénomène...

Novembre 2010 : Deux nouveaux cas recencés cette année, et un début de réponse concernant la durée pendant laquelle le sol garde cette mémoire... Nous sommes retournés sur les lieux cités en novembre 2007, et le phénomène à quasiment disparu. On pourrait penser que le sol conserve cette caractéristique pendant trois ans, mais il s'agit ici d'un cas isolé ?

Avril 2011 : Un nouveau paramètre de première importance vient semer le trouble dans nos résultats!!! En effet, nos expériences menées avec l'aide de certains foreurs qui nous fournissent une aide précieuse vient de dévoiler un phénomène technique inhérent aux travaux de forage, qui vient "mettre la pagaille" dans nos résultats.
En cas de présence d'eau en faible quantité (débit faible), le trépan qui creuse la terre forme une croûte dure autour de lui et empêche l'eau de traverser ce "barrage" causé naturellement par son échauffement. Les sols étant très argileux, le peu d'humidité présent dans le sol forme une guangue semblable à de la pâte à modeler, qui sous l'effet de la chaleur du trépan, se durcit, cuit et devient dure, empêchant l'eau de passer. La solution réside dans la technique de forage, qui doit être lente, et il est préférable que le foreur laisse en place sa machine 12 ou 24 heures à l'arrêt lorsque la profondeur indiquée par le sourcier est atteinte, ou que le foreur devine la présence d'eau par une humidité supérieure à la normale, et continue le forage près cette "pause" qui permettra à l'eau de diluer cette croûte et permettre le passage de l'eau. Cela implique que le foreur joue le jeu de la patience et accepte de faire une pause avant de "chemiser" à nouveau le forage le lendemain... mais l'eau sera présente à tous les coups. Certes, ceci n'est valable que pour de faibles débits, mais vous constaterez que c'est exploitable quand même !

 Mars 2013 : Pour expliquer le phénomène de tour de potier décrit en avril 2011, qui empêche l’eau d’arriver dans le forage par un échauffement du trépan qui durcit l’argile et forme une croûte dure, nous avons demandé à un foreur très patient de procéder à un soufflage à l’air comprimé de plusieurs forages douteux qui étaient improductifs il y a quelques mois. Certains s’étaient effondrés et bouchés, mais ils ont été repercés en lieu et place sans aucune autre modification. La surprise fut de taille ! Sur 8 forages qui ne contenaient pas d’eau à l'époque, 7 se sont révélés productifs avec de l’eau en grande quantité ! C’est donc bien la preuve que certains foreurs ne prennent pas le temps de faire leur travail, probablement trop occupés à rentabiliser leur matériel quand leurs employés touchent des primes de productivité.... Nous sommes conscients que cette information va faire l’effet d’une bombe chez les foreurs, mais nous pouvons le prouver par des protocoles de travaux qui sont consignés et disponibles pour tous ceux qui auraient des doutes. La profondeur des ouvrages réalisés vont de 65 à 102 mètres. Le 8è cas douteux n’a pas pu être confirmé, car le re-forage dans le même trou était potentiellement dangereux pour le matériel du foreur qui aurait certainement cassé son trépan dans les éboulis et les rochers.

Février 2014 : en ce début d'année 2014, nous avons mené à bien l'expérience commencée en janvier 2009, et procédé à des protocoles de recherches en double aveugle. Les résultats (partiels) confirment que le piège causé par la présence d'oxyde de fer est redoutable, et que les résultats obtenus suite à cette expérience va considérablement modifier l'approche d'une recherche d'eau dite "classique". Cette expérience prouve que l'image d'un sourcier qui vient "mettre un petit coup de baguette" sur un terrain doit être reconsidérée. La seule analyse du sourcier ne suffit plus, car son ressenti peut être altéré par des éléments perturbants qu'il est incapable de différencier. Nous allons donc mettre au point un nouveau protocole de recherche qui consiste à soumettre l'analyse d'un terrain a des radiesthésistes qui feront leur travail à l'aveugle avant d'envoyer un sourcier sur place. Cette procédure est déjà mise en place depuis le mois de juillet 2013, mais elle va être encore plus stricte pour affiner les résultats, et éviter les erreurs.

Mars 2014 : Nous sommes heureux de vous annoncer la validation officielle de la Méthode PROMACO, qui consiste à détecter la présence de veine d'eau sous des nappes phréatiques, et, également, de pouvoir confirmer la présence de sable ou d'eau salée dans un aquifère sans distinction de classification. Les résultats obtenus sur 35 forages ont eu 34 résultats positifs sur la détection de sable, d'eau ferrugineuse, d'eau saumâtre, de veines d'eau saisonnières, et de prévisions de sols instables. C'est une méthode unique qui va faire du bruit auprès des professionnels, car ils vont pouvoir connaître à l'avance toutes ces caractéristiques sans avoir besoin de faire un sondage de reconnaissance !!!!!! Contactez-nous pour en savoir plus...

Juin 2016 : Après 8 et 10 ans de recherche et développement, les deux protocoles AIS et EIS ont étés validés avec des taux de réussite de plus de 92% en protocole double aveugle selon les normes scientifiques de validation standard. Ces deux méthodes d'investigations ultimes sont désormais disponibles pour les professionnels. voyez cette rubrique pour plus d'infos, et n'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin de renseignements

Novembre 2017 : suite au développement des procédés AIS et EIS décrits en juin 2016 qui donnent d'excellents résultats, nous explorons désormais d'autres pistes pour gagner en précision, que se soit en terme de recherche d'eau ou en identification stratigraphique, basé sur des procédés d'interférométrie différentielle encore plus ciblés et vraiment très innovants... la suite bientôt...

Octobre 2018 : Le développement généralisé de PROMACO™ depuis quelques années permet d'affiner la précision de détection de fuites sur des canalisations d'eau (dans certaines conditions très particulières, cette détection est impossible). La précision de localisation est de l'ordre du mètre, même si la canalisation est enfouie à 20m dans le sol.